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The blog of Avinash, Christina, Anya and Kyan Meetoo.

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Avinash Meetoo

On blocking pedophilia websites

9 February 2011 By Avinash Meetoo 18 Comments

The Information & Communication Technologies Authority (ICTA) has announced that, as from now, some pedophilia websites cannot be accessed from Mauritius. Websites which are blocked belong to a black list created by Interpol (and, I suppose, regularly updated). Technically speaking, the blocking is done at the IP level with tweaked Border Gateway Protocol routing tables.

I am uneasy with this decision for two main reasons:

  • pedophiles who are sufficiently knowledgeable in networking won’t have any problem bypassing this filter,
  • this filtering, which is a form of censorship according to me, opens the door to a lot of abuse (even though ICTA says it has no intention to block other kinds of websites… but we all remember this). Who knows what ICTA will come up with later?

What do you think?

Filed Under: Mauritius, News, Politics, Technology, Web

La photo numérique sous Linux

21 January 2011 By Avinash Meetoo 3 Comments

Il n’est plus nécessaire de présenter Linux. Les serveurs de Google, de Facebook et d’Amazon (par exemple) fonctionnent sous Linux et offrent une qualité de service inégalée. Linux est aussi utilisé par les smartphones Android. Par contre, Linux est rarement visible dans les foyers ce qui est dommage parce que Linux permet d’utiliser des dizaines de milliers de logiciels libres  (opensource) souvent de très grande qualité.

Dans cet article, je présente quelques logiciels libres fonctionnant sous Linux pouvant être utilisés par des photographes amateurs ou confirmés pour organiser, modifier et partager leurs photos.

gphoto est un logiciel libre qui permet à Linux d’importer des photos de presque 1300 appareils photos numériques de marques et de modèles différents (de l’Apple iPhone jusqu’au Vivitar Vivicam en passant par tous les Canon, les Nikon, les Olympus et les Pentax de ce monde). gphoto peut être utilisé de façon autonome (les photos sont simplement sauvegardées dans un répertoire approprié) ou au sein d’un logiciel offrant des fonctionnalités plus avancées de gestion de photos.

Parmi ce genre de logiciels plus avancés, citons digiKam et Shotwell, ce dernier étant depuis peu le gestionnaire de photos standard d’Ubuntu (la distribution Linux la plus populaire au monde). Shotwell permet également d’organiser les photos par évènements (par date) et par mots clés (tagging). On peut mettre une note à ses photos (de zéro à cinq étoiles), de les renommer et de changer leurs dates.

Avec Shotwell, il devient facile de changer l’orientation des photos, de les recadrer, de réduire les yeux rouges et d’ajuster l’exposition, la saturation, la teinte et la température de chaque photo (manuellement ou automatiquement, en général avec de très bons résultats). Dès lors, plus de prétextes pour se contenter de photos moches…

 

Les possibilités de correction et de restauration de photos de Shotwell sont très souvent suffisantes mais, de temps en temps, il est nécessaire d’aller plus loin dans la manipulation d’image. Shotwell s’intègre parfaitement avec Gimp, un éditeur d’image très puissant avec une interface utilisateur nécessitant quelques heures d’adaptation pour en comprendre toute la finesse.

Les photographes avertis ont tendance à utiliser le format RAW à la place de JPEG (voir encadré plus bas) pour avoir plus de maîtrise sur le rendu final des photos. Par exemple, dans le milieu professionnel, il est impératif d’avoir un contrôle absolu sur la balance des blancs, des espaces RGB, des profiles ICC et du rendu des couleurs. Sur ces points, Shotwell ne faiblit pas. Grâce à l’intégration de libraw,  Shotwell peut facilement importer des photos RAW.

Dès que les fichiers RAW sont importés, Shotwell s’interface avec UFRaw qui offre un « workflow » de gestion des couleurs de niveau professionnel. UFRaw permet de modifier la balance des blancs (automatiquement ou manuellement), le rendu monochrome (en utilisant éventuellement un mélangeur RGB), la courbe de luminosité (avec possibilité d’utiliser une courbe personnalisée NTC), la gestion des couleurs (avec choix des profils ICC pour l’appareil photo, le fichier de sortie et l’écran), la correction de la luminosité et de la saturation des couleurs, le recadrage, la rotation, la modification des paramètres EXIF et, naturellement, la sauvegarde en formats JPEG, TIFF, PPM ou PNG avec choix du taux de compression. Comme vous pouvez le constater, que du très costaud…

Que-ce que le format RAW ?

Le RAW (qui signifie, bien sûr, brut en anglais) est un format de fichier produit par les appareils photos professionnels (et quelques appareils photos amateurs avec une mise à jour appropriée – voir ceci pour les Canon par exemple). Un fichier RAW contient, en général, les données enregistrées par le capteur numérique d’un appareil photo lors de la prise de vue. Ainsi, elle ne contient pas vraiment une image mais, plus précisément, des mesures électriques. Chaque appareil photo professionnel a son propre format RAW (parce que les capteurs ne sont pas les mêmes lorsqu’on change d’appareil..). Le RAW permet ensuite au photographe d’intervenir avec créativité sur la qualité finale des photos (à la manières des photographes d’antan qui intervenaient durant le processus de développement). Pour afficher un fichier RAW à l’écran, il est nécessaire d’utiliser un logiciel approprié.

Ce logiciel peut être dans l’appareil photo lui-même. Dans ce cas, l’appareil photo produit directement une image, le plus souvent dans le format JPEG. C’est ainsi pour la plupart des appareils photos amateurs. Cette solution est la plus contraignante parce que les possibilités de changer le rendu des photos par la suite sont limitées.

Dans le deuxième cas, le  logiciel est fourni à l’achat de l’appareil photo (e.g. ZoomBrowser pour Canon et ViewNX pour Nikon) et permet de manipuler les images après la prise de vue. En général, ces logiciels sont commerciaux et sont relativement austères. De nombreux photographes investissent dans d’autres logiciels onéreux tels que ceux d’Adobe.

La troisième possibilité est celle que je préconise : utiliser des logiciels libres tels que Shotwell et UFRaw pour (presque) tout faire !

Après avoir passé des heures à peaufiner leurs photos, nombreux sont ceux et celles qui veulent partager les meilleures à travers les réseaux sociaux. Shotwell s’intègre parfaitement à Facebook, à Flickr et à Picasa et permet d’exporter très simplement une sélection de ses photos vers ces sites. Il va sans dire que Shotwell permet aussi d’imprimer ses photos ainsi que de créer des diaporamas.

En quelques années, les logiciels libres sont devenus incontournables. Les Linux, Apache, PHP, MySQL, Firefox, VLC, Mplayer, Android et consorts sont utilisés par des millions de personnes chaque jour. Dans cet article, nous avons vu que les logiciels libres pour la manipulation de photos numériques n’ont pas grand chose à envier aux logiciels commerciaux. Au fait, j’ai oublié le plus important : ces logiciels libres sont tous gratuits !

[Je suis Avinash Meetoo et j’ai initialement écrit cet article pour le Numéro 4 du magazine 100% Mauricien, TechKnow. J’ai quelques autres articles sur la photographie sur mon blog personnel et des articles sur le logiciel libre sur mon blog professionel. Finalement, je suis sur LinkedIn, Twitter et Facebook.]

Filed Under: Linux, LUGM, Photography, Technology, Web

Le Web selon Google

19 January 2011 By Avinash Meetoo 8 Comments

[J’ai écrit cet article pour le Numéro 1 du magazine 100% Mauricien, TechKnow.]

Depuis sa création par Sergey Brin et Larry Page le 4 septembre 1998, Google n’a cessé de grandir et représente maintenant plus de Rs 5000 milliards sur le marché boursier. Depuis ses débuts comme moteur de recherche uniquement, Google a su innover en proposant des services Web qui sont rapidement devenus indispensables pour beaucoup d’entre nous. Et, le plus souvent, gratuitement.

Le moteur de recherche de Google est le site Web le plus visité au monde, Facebook étant le second. En utilisant Google Web Search, chacun peut, en un temps record, identifier des sources d’information pertinentes sur n’importe quel sujet à partir de mots-clé. Par exemple, en cherchant « mauritius », on obtient, en une fraction de seconde, les dix pages Web  les plus pertinentes sur Maurice parmi les 1000 milliards de pages Web existantes.

Il est aisé de croire que Google s’appuie sur de la magie pour nous proposer ce service mais, en réalité, Google a su déployer sur la planète un réseau d’un demi million de serveurs tournant sous le système d’exploitation Linux. Ce nuage (c’est ainsi qu’on appelle un réseau aussi grand), qui possède des capacités phénoménales en terme de puissance de calcul ainsi que d’espace de stockage, est ce qui permet au moteur de recherche d’être aussi pertinent et rapide. D’ailleurs cela explique, en grande partie, le succès du Google Web Search: personne d’autre ne possède cette puissance.

Le moteur de recherche de Google possède aussi des facettes souvent méconnues du public. Par exemple, Book Search peut être utilisé pour faire des recherches à l’intérieur de livres papier numérisés par Google. Ce service permet à chacun de découvrir de nouveaux livres et, par conséquent, aux éditeurs d’acquérir un nouveau public. De la même façon, Image Search permet de retrouver des images à l’aide de mots-clé, de type (visage, dessin, photo…) ou de la prédominance d’une couleur donnée (par exemple, les photos de Maurice avec une prédominance jaune représentant la plage.)

Finalement, le même moteur de recherche permet aussi de lire les dernières nouvelles sous plusieurs thématiques. Google News fonctionne comme un centre d’aiguillage vers les journaux en ligne et sites de news les plus connus dans le monde. Pour l’instant, il n’existe pas de version de Google News spécifique pour Maurice mais gageons que cela ne saurait tarder.

Exploiter pleinement le Web

Depuis son invention par Tim-Berners Lee en 1991, le Web est rapidement devenu essentiel. Nous l’utilisons en permanence pour nous informer et nous distraire. Google a vite compris que le Web est aussi l’outil idéal pour communiquer et collaborer. L’entreprise propose ainsi Gmail qui est une application Web puissante pour envoyer et recevoir du courrier électronique. Gmail ne nécessite qu’un navigateur Web et fonctionne donc sur tous types d’ordinateurs ou de téléphones portables.

 

Gmail possède d’autres cordes à son arc tels que le « chat » intégré ainsi que le très récent Google Buzz. Ce service permet à chacun de partager des messages, des photos ou des vidéos avec ses connaissances (collègues, membres de la familles, amis, etc.) Dans une certaine mesure, Buzz permet d’avoir, au sein même de Gmail, un mini Facebook privé. Cela offre des perspectives intéressantes, par exemple, concernant le travail collaboratif en entreprise.

Google Calendar, autre service de Google, est un calendrier en ligne qui autorise une gestion pointue de son emploi du temps et, facultativement, de le partager avec ses connaissances. Par exemple, dans un contexte d’entreprise, cela permet à chaque employé de connaître l’emploi du temps de ses collègues. Chaque événement du calendrier peut être rattaché à une alarme. Celui-ci, qui peut être un signal sonore ou un courrier électronique, peut aussi être un SMS envoyé gratuitement à un téléphone portable quelques minutes avant l’évènement!

Il est important aussi de mentionner Google Maps qui, depuis peu, donne accès à une cartographie très détaillée de Maurice, de Rodrigues et des îles avoisinantes montrant les routes et bâtiments principaux. L’intérêt principal de Google Maps est  de pouvoir s’orienter en utilisant son téléphone portable muni d’un GPS. Google Maps permet aussi à chacun d’ajouter des marqueurs sur les cartes (par exemple, les restaurants ou endroits à visiter absolument) et cela offre plusieurs possibilités pour le marché touristique.

YouTube: un cas à part

Le Web fut créé par Tim Berners-Lee afin de partager avec d’autres personnes des documents contenant du texte. Mais l’accroissement de la bande passante dans la plupart des pays du monde a rendu possible la visualisation de vidéos en temps réel. En 2006, Google se lança dans la vidéo avec son service Google Videos. Par manque d’ambition, ce site était loin de rivaliser avec YouTube, site créé par des ex-employés de PayPal en 2005. En novembre 2006, Google acquit YouTube pour plus de Rs 50 milliards.

Depuis, YouTube est devenu un site très populaire parmi les Mauriciens. Il référence des millions de séquences vidéo majoritairement contribuées par les internautes. On trouve de tout sur YouTube: du plus trivial clip filmé sur un téléphone portable au film complet en haute définition.Pendant quelques années, l’utilisation de YouTube à Maurice était pénible. En effet, visualiser des vidéos demande une bande passante élevée et soutenue. Heureusement, Google vient d’installer des serveurs localement. Ces serveurs hébergent, entre autres, les vidéos les plus populaires de YouTube. Par conséquent, YouTube est maintenant d’une utilisation agréable et laisse présager du futur de la télévision.

Google et les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux tels que Facebook ou Hi5 ont grandement contribué à rendre populaire le Web à Maurice. Beaucoup de nos compatriotes, par exemple, n’utilisent leurs ordinateurs que pour avoir accès à Facebook.

Naturellement, Google s’est aussi essayé aux réseaux sociaux, par exemple, avec Orkut. Celui-ci, bien que populaire en Inde et au Brésil, est presque inconnu à Maurice. Au lieu de chercher à améliorer Orkut, il serait peut être tentant pour Google d’essayer d’acquérir Facebook. Facebook est maintenant évalué à Rs 300 milliards qui est, quand même, six fois le prix de YouTube… Pour l’instant, rien n’indique que Facebook est à vendre. Mais sait-on jamais?

Filed Under: Education, Linux, News, Technology, Web

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